Description
Édition commentée par Gabrielle Chamarat et Catherine Bouttier-Couqueberg. Balzac, à 31 ans, crée « La Peau de chagrin, » son premier chef-d’œuvre, rêvant d’un conte oriental à la « Mille et une nuits » parisiennes. Ruiné, au bord du suicide, Raphaël de Valentin achète une peau magique aux pouvoirs fatidiques. Chaque désir comblé rétrécit la peau, symbolisant la vie. Raphaël, séduit par le luxe, la débauche, et la frénésie de pouvoir, signe sa perte. Le public perçoit dans cette œuvre une odeur de femmes et de mort, lui offrant un triomphe. Le texte intégral et la préface contextualisent l’œuvre et l’auteur.
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